08 mai 2025
Félix était bien plus qu’un simple animal de compagnie – il était un soutien, une famille, une source de joie dans les moments difficiles. Mais lorsque ce chat tant aimé est tombé gravement malade, un voyage émotionnel a commencé, fait d’inquiétudes, d’espoir, et d'une décision qui a tout changé.
Felix n’avait que trois mois quand il est arrivé chez nous. Nous venions de décider de rentrer chez nous, en Suisse, une fois que nous aurions pris notre retraite. Mais comme notre rente était beaucoup trop faible, nous avons dû travailler bien au-delà de l’âge de la retraite. Felix a été l’une des rares lueurs d’espoir de notre vie durant cette période difficile. Mais en notre absence, il manquait de compagnie. Nous nous sommes donc rendus dans une ferme, et c’est là que Jeanny nous a rencontrés. Une petite boule de poils couleur caramel et blanc, âgée de dix semaines à peine. Une vraie peluche! Dès le début, Felix a bien pris soin d’elle. Il jouait avec elle, la portait dans l’appartement et la lavait délicatement. Nos enfants avaient quitté la maison depuis longtemps, mais à l’arrivée de Jeanny, nous sommes redevenus une vraie petite famille.
Le soir, les chats s’asseyent sur le rebord de la fenêtre et attendent patiemment que nous rentrions à la maison. Ils aiment dormir dans notre chambre et nous tiennent toujours compagnie pendant les repas. En grandissant, Felix est devenu un vrai mâle alpha. Il nous tolère dans l’appartement, mais nous devons nous plier à ses besoins et à ses désirs. Bien sûr, nous passons aussi nos soirées télé ensemble. Nous devons toutefois nous asseoir sur des chaises inconfortables, alors que notre chat dominant occupe le fauteuil à bascule. À chaque repas, il insiste pour goûter notre nourriture, juste pour s’assurer que notre repas à nous n’est pas meilleur que le sien. Chat d’appartement, il aime se promener tous les jours dans le grenier. Il monte les escaliers quatre à quatre, et seule une friandise peut le convaincre de revenir parmi nous. Les deux chats disposent également d’espaces confortables sur la terrasse et peuvent ainsi profiter du beau temps jour et nuit.
Un jour, nous avons remarqué que Felix commençait à boiter, et cela empirait de jour en jour. Nous lui avons d’abord donné des analgésiques, mais cela ne l’a soulagé qu’un temps. Le vétérinaire s’est vite rendu compte qu’il fallait absolument l’opérer. C’est ainsi qu’a commencé la longue souffrance de notre chat bien-aimé. Cela nous faisait mal au cœur de le voir ainsi et de ne pas vraiment pouvoir l’aider. Felix aurait dû retrouver la forme au bout de trois mois. Mais c’est le contraire qui s’est produit.
Felix se retirait de plus en plus, il restait immobile et caché dans un coin. Même la nourriture ne l’intéressait plus. Il avait perdu beaucoup de poids et il boitait toujours. Pour lui faciliter la vie au quotidien, nous lui avons installé de petites marches à ses endroits préférés, pour qu’il puisse au moins continuer d’accéder au lit et au fauteuil à bascule qu’il appréciait tant. Il avait l’air de souffrir. Il manquait manifestement aussi à Jeanny, qui n’avait plus son compagnon de jeu. Enfin, lorsque le métal qu’on avait placé dans son articulation s’est relâché et que deux vis se sont desserrées, une autre opération s’est révélée nécessaire. Mais même des semaines plus tard, son état ne s’est pas amélioré. Il se traînait péniblement jusqu’à sa gamelle ou nous devions parfois le porter jusqu’à sa litière. Désespérés, nous avons décidé de nous rendre à la clinique vétérinaire expérimentée de Zurich, située dans un autre canton. Felix y a été minutieusement examiné, ses pattes et son ventre ont été rasés de près, et on lui a mis une collerette pour éviter qu’il ne lèche ses plaies. Le vétérinaire qui l’a traité était très optimiste: il pensait que Felix allait guérir, et ce, sans devoir être opéré de nouveau. Nous ne demandions qu’à y croire.
Dieu merci, nous n’avons pas eu à craindre des frais de traitement trop élevés. Bien que Felix et Jeanny ne soient pas des animaux de race porteurs d’un pedigree, nous les avions assurés des années plus tôt contre les accidents et la maladie auprès de l’assurance animaux wau-miau. Certaines personnes de notre entourage se moquaient de nous quand nous leur disions que nos chats avaient une assurance-maladie. Mais déjà à l’époque, nous savions que c’était la bonne décision. Sans wau-miau, nous n’aurions jamais pu faire face à tout cela. Et c’est l’esprit serein que nous avons pu décliner le conseil de quelques amis d’euthanasier notre bien-aimé Felix. Nous en sommes infiniment reconnaissants aujourd’hui.
Aujourd’hui, nous formons enfin à nouveau une joyeuse petite communauté. Felix, notre mâle alpha, continue à donner le ton, nous fait le cadeau de ses ronronnements bruyants et de sa présence, et nous fait comprendre ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas. Jeanny a retrouvé son compagnon de jeu bien-aimé, et la course quotidienne dans les escaliers qui mènent au grenier ou l’escalade de l’arbre à griffes nous montrent que Felix a retrouvé sa joie de vivre. Le temps que nous passons ensemble le soir est redevenu ce qu’il était autrefois: un moment de bonheur dont nous ne voulons plus nous passer.
Nous remercions chaleureusement l’assurance animaux wau-miau pour son soutien indéfectible. Nous ne pouvons que recommander à tous les propriétaires d’animaux de ne pas attendre pour bien assurer leurs compagnons à quatre pattes. Merci, wau-miau!
Les frais vétérinaires peuvent rapidement atteindre des montants élevés. Une assurance pour animaux aide à éviter les charges financières inattendues, afin que vous puissiez vous concentrer pleinement sur la guérison de votre animal. Que ce soit en cas de maladie ou d'accident, wau-miau vous protège de manière optimale, vous et votre animal de compagnie, contre les événements inattendus – partout dans le monde, 24 heures sur 24 – 365 jours par an.